L'équipe internationale localisée de part et d'autre du Rhin collabore pour avancer vers un objectif commun : Réinventer le design des casques afin d'optimiser la protection des usagers. Elle regroupe différents pôles de recherche et se compose des experts suivants.
L'Université de Strasbourg, grâce au dynamisme et l'implication de ses chercheurs, a été à l'initiative de ce projet. Plus précisément, Rémy WILLINGER et son équipe, qui travaillent depuis plusieurs années dans ce domaine, représentent l'expertise de l'Université de Strasbourg, dans le domaine de la recherche et le développement de meilleurs systèmes pour mieux comprendre les impacts sur la structure nuque et tête et ainsi participer à optimiser les systèmes de protections pour les usagers.
L'Université de Freiburg est l'un de nos partenaires bénéficiaires du projet. Cette université Allemande partage plusieurs projets européens avec l'Université de Strasbourg. La qualité de son pôle de recherche en médecine et sa proximité avec l'Université de Strasbourg en fait un partenaire incontournable pour un projet de cette taille. L'intérêt de médecins dans ce domaines permets de répertorier des cas d'accidents et mieux comprendre les impacts dans les tissus corporels.
L'Université de Mayence est l'un de nos partenaires bénéficiaires du projet. Cette université allemande nous a rejoint pour son intérêt et son implication pour la médecine au même titre que l'Université de Freiburg et ainsi participe à la recherche dans le cadre de ce projet.
L'Université de Furtwangen est l'un de nos partenaires bénéficiaires du projet. Cette université allemande nous a rejoint pour son intérêt et son implication pour la médecine au même titre que l'Université de Freiburg et ainsi participe à la recherche dans le cadre de ce projet.
L'Institut Saint Louis est l'un de nos partenaires bénéficiaires du projet. C'est un institut de recherche qui nous a rejoint pour son intérêt et son implication pour les systèmes de protections dans le domaine de la défense, pour les impacts balistiques par exemple, et participe ainsi à la recherche dans le cadre de ce projet.
Un grand merci à eux, sans qui le projet n'aurait pas vu le jour. Les inévitables : le programme INTERREG et l'Union Européenne.
